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2002 :  organisation de l’exposition « Signé Art 2002 » sur le thème de l’Influence des symboles graphiques africains dans l’art contemporain par l’aisbl CILTADE, avec la participation de l’Université Libre de Bruxelles, du 27 mai au 15 juin. 2002. Cette exposition avait pour but de sensibiliser le grand public et le public scolaire à la Beauté des symboles africains, au Sens qu’ils véhiculent et aux perspectives de création qu’ils offrent aux artistes. Elle comprenait trois sections : Le corps humain comme symbole, Les éléments de la nature comme symboles, Les produits manufacturés comme symboles. Divers artistes contemporains, toutes cultures confondues, venant de pays d’Afrique et d'Europe, y avaient pris part avec leurs œuvres.

 

1995 : « Du corps humain à l’objet », document vidéocassette sur les différentes formes de symboles africains, Centre Audiovisuel, Université catholique de Louvain (CAV)/Centre international des langues, littératures et traditions d’Afrique (CILTADE), 1995, 37 minutes.

 

1991 : Création au monastère de Dzobégan du Togo, avec les moines et moniales bénédictins de l’Afrique de l’Ouest, de l’asbl AMORSYCA (Association Monastique de Réflexion sur les Symbolismes dans les Cultures Africaines).

 

1986 : Création de l'aisbl CILTADE [Centre international de langues, littératures et traditions d’Afrique au service du développement], devenu en 2009 CILTA [ Centre international des langues et des traditions d'Afrique ].

La création de l'aisbl CILTADE  était motivée par la conviction que le développement d’un pays ne peut se réaliser qu'en s'appuyant sur la mentalité et la vision du monde des personnes qui l’habitent, c’est-à-dire sur les cultu­res et les langues qui véhiculent ces cultures. Il faut d'abord connaître et comprendre la logique interne de ces cultu­res et de ces langues pour pouvoir agir efficacement sur elles ou avec elles.  Il s’agit de préparer ainsi ceux qui les vivent à un véritable développement. C’est donc une prise de conscience culturelle, développée par la recherche et mûrie par le temps qui pourra permettre un auto-développement per­manent et libérateur des peuples qui sont nourris de ces cultures.

L’aisbl se fixa pour objectifs :

  • de contribuer à l’évolution des sciences de l’Homme par la recherche dans les disciplines qui touchent aux langues et aux cultures fondamentales d’Afrique, considérées dans leur milieu naturel et dans leur contact avec d’autres langues et cultures ;

  • de rapprocher le grand public du discours scientifique sur l’Afrique par la vulgarisation et la diffusion des résultats des recherches sous forme de publications, expertises, conférences, formations, séminaires, stages, ateliers thématiques, activités culturelles (spectacles, expositions…) ;

  • mettre au service du développement de l’Afrique tous les acquis posi­tifs que présente la connaissance de ses cultures;

  • faire connaître l’Afrique et les Africains dans ce qu’ils ont de posi­tif et d’enrichissant pour l’humanité;

  • constituer un dépôt des traditions à partir des données des cultures orales récoltées dans les milieux d’origine.

Pendant vingt ans et fidèle à ses objectifs, le CILTADE devint, pour des chercheurs de toutes origines confondues, un lieu de rencontre et d’échange autour de thèmes en rapport avec l’Afrique. Chaque sujet était introduit soit par un membre du groupe soit par un invité extérieur. Rebaptisée CILTA en 2009, l’aisbl a été dissoute en 2016.

 

1972 : Création du bulletin d’information Habari à l’Université de Lubumbashi.

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1966 : La « Pléiade du Congo » devient le cercle littéraire la « Pléiade du Congo » et organise son premier événement culturel : une exposition artistique multi-disciplines à l’Université Lovanium de Kinshasa.

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1964 : Création de l'association culturelle « Pléiade du Congo ». Elle regroupait des peintres, poètes, sculpteurs, compositeurs et artistes de toutes disciplines. Étant donné le vide culturel que connaissait le pays à l’époque, la Pléiade du Congo se présentait comme un « foyer » où, sous le signe de l’amitié et de l’art, les jeunes artistes pouvaient se faire connaître, confronter leurs idées et partager leur idéal commun dans une totale liberté d’expression. Constituée en asbl en 1966, la Pléiade du Congo s’était fixée pour objectifs : de regrouper sous les signes de l’amitié et de l’art les artistes résidant au Congo, de quelque discipline qu’ils soient, et sans distinction de race, d’opinion et de culture ; de défendre la culture, de diffuser, par tous les moyens, les œuvres de ses adhérents ; d’ouvrir aux artistes, souvent isolés, un foyer d’accueil fraternel. Parmi les artistes membres fondateurs de l’asbl Pléiade du Congo, certains connaissent aujourd’hui une grande notoriété dans leur discipline respective. De plus, la Pléiade du Congo a été le premier jalon des salons littéraires actuellement actifs dans le pays.

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